La crise qui sévit raréfie les offres d’emploi, seulement les diplômés des écoles de commerce ne cessent d’avoir des scores intéressants à l’insertion professionnelle. La récente enquête menée par la Conférence de grandes écoles (CGE) démontre que 86,6 % des diplômés en commerce obtiennent un boulot moins de 6 mois après l’obtention de leur parchemin. Et en cas d’embauche, sur dix offres 8 sont des contrats à durée indéterminée (CDI).
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Tout se déroule durant le parcours scolaire : les enseignements dispensés mettent en avant le côté pratique de la filière, différents cadres interviennent lors des cours et de nombreux stages en entreprises sont exigés. Plusieurs forums de recrutement sont organisés, de même que les ateliers CV, sans oublier les invitations régulières des entreprises pour parler de leurs métiers. Les anciens étudiants n’hésitent pas à proposer les jeunes diplômés quand des places se libèrent dans leurs entreprises, ou créent des annuaires et organisent régulièrement des rencontres de networking.
L’accession aux études internationales
La qualité du diplôme joue un grand rôle dans les critères de sélection d’un candidat à un poste de responsabilité. À cet effet, les écoles de commerces ont de quoi satisfaire les exigences des apprenants. C’était facultatif, mais le séjour à l’étranger est désormais une condition demandée pour être diplômé d’une école de commerce. Il peut s’agir d’un échange entre universités, un séjour ou un stage dans un campus délocalisé.
La majorité des écoles de commerces possèdent des relais à l’étranger. Si vous envisagez de prolonger l’aventure, l’établissement peut activer la clause d’une année de « césure » entre la deuxième et la troisième année. Voilà la cause du dépaysement de la France, car les campus de ces écoles reçoivent chaque année de nombreux étudiants en provenance des quatre coins du globe. Dès la deuxième année, les cours se déroulent uniquement en anglais par des professeurs s’exprimant dans la langue de Shakespeare.
Plus de postes à pourvoir
Avec le programme académique axé les deux premières années autour d’un tronc commun (ressources humaines, comptabilité, marketing, finance…) les futurs diplômés reçoivent une formation transversale qui va des questions d’ordre social, au leadership, en passant par l’entrepreneuriat et la gouvernance. Une offre diversifiée qui permet de toucher de nombreux domaines avant d’opter pour la spécialisation à la troisième année, ce qui constitue en soi un avantage dans le marché de l’emploi.
Une fois le diplôme acquis, les débouchés sont multiples. L’enquête de la CGE prouve que 17 % des diplômés d’écoles de commerces œuvrent dans le conseil, 18 % dans les assurances ou la finance, 10 % dans le commerce, 5 % dans la gestion, la comptabilité ou les affaires juridiques.
Ouvre la voie à l’entrepreneuriat
En 2015, une étude menée par l’EDHEC démontrait qu’un étudiant sur trois des écoles de commerces souhaitait créer sa propre entreprise. Les chiffres de la CGE les confirment, car 4 % des lauréats de 2016 se sont lancés dans l’entrepreneuriat. Voilà des qualités recherchées pour assumer les postes de responsabilités : nager contre vents et marées pour atteindre les objectifs de l’entreprise. Si vous êtes toujours intéressé par intégrer une école de commerce, sachez que le test du Tage Mage est présent dans beaucoup de concours d’entrée.